SYMPOSIUM DU MANAGEMENT

***Conférence Internationale de Rentrée Académique

Thème

« SPIRITUALITÉ, LEADERSHIP ET TRANSFORMATIONS DANS LES ENTREPRISES ET LES ORGANISATIONS »

Du 24 au 30 Octobre 2019 à ABIDJAN

Présidence Scientifique

Prof ESSANE Séraphin

Président de l’Université TaharqaSarê

Membre de l’Académie Ivoirienne (ASCAD)

APPEL À COMMUNICATIONS

I-CONCEPTS : MANAGER, LEADER

« La fonction transformationnelle du leadership s’est imposée comme la finalité première du leadership. Elle permet notamment de distinguer le leader du manager. Ainsi dans ce courant, le leadership est avant tout une force de transformation de soi, des autres et du monde. Le leader est ainsi celui qui influence les groupes en vue d’une transformation. Le manager est celui qui cherche à consolider ce qui existe déjà. » (Cécile DEJOUX)

Le manager maintient les standards, assure la continuité de l’activité, planifie et budgétise, organise et recrute, contrôle et résout des problèmes, alors que le leader suscite l’engagement, transforme l’activité, montre la direction, aligne les équipes, motive et inspire.

II- PROBLÉMATIQUE DU LEADERSHIP

II.1- LEADERSHIP& SPIRITUALITÉ

Le leadership se caractérise comme une force de transformation des organisations, des groupes,  donc une pratiquefondée sur une problématique majeure, le changement dans les organisations, les groupes. Le leadershipdéveloppe une problématique critique en regard de la tradition managériale classique qui donnant un primat à la rationalité, relègue la spiritualité comme un sujet tabou en entreprise. En effet, paradoxalement, il faut relever ce qui fonde l’impact ou l’influence du leadership la force de transformation, et c’est la seconde spécification du leadership, une culture qui est une spiritualité :vision, valeurs, éthique, sens. Les évolutions historiques des siècles derniers attestent des liens, la métaphysique et l’ éthique protestantes ont favorisé l’essor du capitalisme (Max WEBER), la croyance dans le progrès, la science et l’éthique progressiste ont facilité l’essor du capitalisme industriel.

II.2- MODÈLE DE LEADERSHIP POUR LE XXI è

La qualité du leadershippréoccupe les organisations du XXI è siècle, comme un avantage concurrentiel majeur :

  • Réduire les risques psychosociaux
  • Améliorer les performances globales
  • Devenir innovante

La tendance est dans l’amélioration de la qualité éthique des pratiques managériales, soit encore, une humanisation du management.

II.3- NOUVELLE CULTURE DU LEADERSHIP

La problématique d’une alternative au modèle de leadership hiérarchique traditionnel est actuelle. Une nouvelle culture du leadership émerge, à la fois humaniste et holiste qui prend en compte toutes les dimensions de l’être humain, y compris l’émotionnel et le spirituel, habituellement absentes des relations de travail traditionnelles qui veulent se limiter au rationnel. Cette approche favorise l’émergence des potentiels, la valorisation des talents et l’épanouissement professionnel et personnel.

Le modèle de « l’intelligence spirituelle » du leadership émerge à la suite de celui de « l’intelligence émotionnelle », dont une illustration, le « servant leadership », sur des principes puissants des relations humaines, « l’écoute et le service à autrui », créant une motivation intrinsèque qui respecte la liberté de l’individu et contribue à le faire grandir…

III- AXES DE RÉFLEXION

Lesthèmes de la problématique sont des objets que nous invitons à travailler dans une perspective compréhensive ou critique

—————————— Téléphones :0022522522503 / 0022504323064 /E-mail : koodal.taharqasare@gmail.com

Présidence Scientifique

Prof ESSANE Séraphin

Président de l’Université TaharqaSarê Membre de l’Académie Ivoirienne (ASCAD)

APPEL À COMMUNICATIONS

I-CONCEPTS : MANAGER, LEADER

« La fonction transformationnelle du leadership s’est imposée comme la finalité première du leadership. Elle permet notamment de distinguer le leader du manager. Ainsi dans ce courant, le leadership est avant tout une force de transformation de soi, des autres et du monde. Le leader est ainsi celui qui influence les groupes en vue d’une transformation. Le manager est celui qui cherche à consolider ce qui existe déjà. » (Cécile DEJOUX)

Le manager maintient les standards, assure la continuité de l’activité, planifie et budgétise, organise et recrute, contrôle et résout des problèmes, alors que le leader suscite l’engagement, transforme l’activité, montre la direction, aligne les équipes, motive et inspire.

II- PROBLÉMATIQUE DU LEADERSHIP

II.1- LEADERSHIP& SPIRITUALITÉ

Le leadership se caractérise comme une force de transformation des organisations, des groupes,  donc une pratiquefondée sur une problématique majeure, le changement dans les organisations, les groupes. Le leadershipdéveloppe une problématique critique en regard de la tradition managériale classique qui donnant un primat à la rationalité, relègue la spiritualité comme un sujet tabou en entreprise. En effet, paradoxalement, il faut relever ce qui fonde l’impact ou l’influence du leadership la force de transformation, et c’est la seconde spécification du leadership, une culture qui est une spiritualité :vision, valeurs, éthique, sens. Les évolutions historiques des siècles derniers attestent des liens, la métaphysique et l’ éthique protestantes ont favorisé l’essor du capitalisme (Max WEBER), la croyance dans le progrès, la science et l’éthique progressiste ont facilité l’essor du capitalisme industriel.

II.2- MODÈLE DE LEADERSHIP POUR LE XXI è

La qualité du leadershippréoccupe les organisations du XXI è siècle, comme un avantage concurrentiel majeur :

  • Réduire les risques psychosociaux
  • Améliorer les performances globales
  • Devenir innovante

La tendance est dans l’amélioration de la qualité éthique des pratiques managériales, soit encore, une humanisation du management.

II.3- NOUVELLE CULTURE DU LEADERSHIP

La problématique d’une alternative au modèle de leadership hiérarchique traditionnel est actuelle. Une nouvelle culture du leadership émerge, à la fois humaniste et holiste qui prend en compte toutes les dimensions de l’être humain, y compris l’émotionnel et le spirituel, habituellement absentes des relations de travail traditionnelles qui veulent se limiter au rationnel. Cette approche favorise l’émergence des potentiels, la valorisation des talents et l’épanouissement professionnel et personnel.

Le modèle de « l’intelligence spirituelle » du leadership émerge à la suite de celui de « l’intelligence émotionnelle », dont une illustration, le « servant leadership », sur des principes puissants des relations humaines, « l’écoute et le service à autrui », créant une motivation intrinsèque qui respecte la liberté de l’individu et contribue à le faire grandir…

III- AXES DE RÉFLEXION Lesthèmes de la problématique sont des objets que nous invitons à travailler dans une perspective compréhensive ou critique